Quand le No-code rencontre le code, l’ultime frontière

De par ma situation privilégiée au sein de l’écosystème no-code, j’ai l’occasion d’échanger avec de nombreux acteurs et j’ai identifié un sous-ensemble que j’estime être l’avant-garde du mouvement.
Quand on évoque les outils no-code, on arrive très rapidement à la question des limites auxquelles ils sont confrontés. Il s’agit principalement de limites techniques, mais des fois aussi de limites d’usages qui freinent leurs adoptions.
J’observe toutefois que les limites sont constamment repoussées par cette avant-garde. Elle est liée à 3 phénomènes parallèles :
– les outils no-code évoluent très vite et leurs équipes techniques semblent tirer le meilleur profit des dernières avancées du dev (intégration continue, devops, scalabilité grâce à AWS…)
– de nombreux dev expérimentés et personnes venant de l’IT, rejoignent le mouvement
– les no-codeur.ses montent en compétence sur des sujets techniques comme les APIs (souvent grâce aux outils no-code d’ailleurs) et bénéficient des points précédents également.
Le but du talk est de présenter cette thèse en illustrant de témoignages recueillis dans mes échanges informels, mes podcasts et mes lives.